La recette secrète d'une offre irrésistible
La recette secrète d'une offre irrésistible
#10 Ou l’art de transformer ton idée en machine à vendre
Hello 👋
Bienvenue dans cette édition #10 de Tatraj 🎉 | Fonder mon business sur Jésus. Que tu sois là depuis le début, ou que tu viennes de me découvrir, merci de me lire ❤️
Cet été, j'ai visité une serre tropicale abritant +600 papillons exotiques du monde entier. J’ai appris que les couleurs et les motifs de leurs ailes servent de camouflage, comme cet incroyable "papillon feuille morte"… La nature est une merveille.
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Au programme cette semaine
Introduction
Le test des 3 points
Les conséquences d'une "mauvaise offre"
L'offre n'est pas l'idée
4 tactiques à connaître absolument
Conclusion
Le défi de la semaine
Introduction
Tu es pressé de lancer ton entreprise ou ta nouvelle offre ? Je te comprends. L'excitation de révolutionner le monde avec ton idée géniale ou de consacrer enfin ton énergie à ta passion, c'est grisant.
Mais as-tu vraiment la "bonne offre" ? J’entends, une offre qui vend.
C'est LA question à 1 million si tu veux bâtir une entreprise qui fonctionne. Celle qui fait la différence entre un rêve et un business qui réussit. Que tu sois un serial entrepreneur ou porteur de projet, tu es concerné.
Cette semaine, je te partage 4 tactiques secrètes pour créer une offre « qui vend ».
Le test des 3 points
En coaching, j’utilise 3 points ciblés et un arbre de décisions pour déterminer si mes clients ont la bonne offre :
1- Qu'est-ce que tu vends, concrètement ?
2- Combien en as-tu vendu et par quel canal ?
3- Quel chiffre d'affaires as-tu réalisé sur les 12 derniers mois, et avec quelle marge ?Juste avec ces questions, je peux savoir si le problème vient de l’offre ou de son exécution. J’imagine que tu as questionné ton propre business en les lisant.
Verdict : as-tu la bonne offre ?
2/ Les conséquences d'une "mauvaise offre"
Une offre mal ficelée, c'est comme conduire avec un frein à main : tu avances, mais tu te fatigues pour rien. Voici ce qui t'attend si tu persistes :
Tu brûles ton temps et ton argent
La quête de clients devient un parcours du combattant
Ton business stagne, ton impact s'évapore
Tu t'épuises sur un projet qui patine (ou pire, qui engloutit tes économies)
Le doute s'installe, tu remets en question tes compétences
🙄 J'ai connu un entrepreneur chrétien qui proposait des formations en développement personnel. Son offre était tellement vague qu'après un an, il n'avait vendu que 3 formations. Résultat ? Découragement et remise en question totale.3/ L'offre n'est pas l'idée
Quand je suis passée de consultante en management grands comptes à coach business pour solopreneurs et patrons de TPE/PME, j'ai tâtonné pendant un an pour trouver "l'offre qui vend". J'ai fini par investir dans une formation intensive sur les business models et les offres gagnantes qui m’a fait gagner du temps.
Aujourd'hui, je vois trop d'entrepreneurs chrétiens avec des idées en or, bloqués parce qu’ils ne savent pas les transformer en offres rentables.
Capter l'esprit humain, c'est un art qui s'apprend.
4/ 4 tactiques à connaître absolument
1/ Make something people want
« Crée ce que les gens veulent vraiment »
Au début, tes clients se moquent de ta bio. Ils ont un problème et cherchent juste une solution. Point. Ton but ? La leur offrir sur un plateau d'argent.
Pour ça, l’erreur à éviter à tout prix ? Écouter ce que les gens disent. Car quand tu pitches, les gens te disent que c’est génial ou que c’est nul.
Mais observe plutôt ce qu'ils achètent. C'est la stratégie de Facebook et Google : ils analysent tes dépenses et tes recherches quand personne ne te voit, pour te bombarder ensuite de pubs ciblées.
Ton défi : découvrir ce que ta cible achète réellement, pas ce qu'elle prétend vouloir acheter.2/ L’offre visionnaire
Propose quelque chose dont les gens ont besoin sans le savoir encore.
Les gens ne savent pas qu'ils en ont besoin, mais une fois qu'ils l'essaient, ils ne peuvent plus s'en passer.
Amazon Prime en est l'exemple parfait : qui pensait avoir besoin d'une livraison en 24h avant eux ? Maintenant, c'est +70% de la population américaine, plus de 60% en Europe. Bref, un must have pour beaucoup.
3/ La cible spécifique ou nichée
"Il est plus facile de vendre 1 produit à 1000€ à une personne que 1€ à 1000 personnes." - Alex Hermozi
Cible ceux qui ont les moyens d'acheter tes services.
Tu mettras plus de temps à signer une formation de 2000€ en B2C qu’un contrat de 25 000€ en B2B.
3/ L'ikigaï : ton sweet spot
🌸 Cette approche japonaise consiste à trouver l'intersection entre ce que tu aimes, ce que tu sais faire, et ce que le marché est prêt à te payer pour le faire.Par exemple :
Si tu es doué pour expliquer la Bible et que tu maîtrises les réseaux sociaux, lance-toi dans le "TikTok Bible Challenge". C'est fun, c'est dans tes cordes, et ça répond à un besoin de contenu chrétien moderne.
Si tu aimes les chiens, les longues balades, et si des personnes sont prêtes à te payer pour promener leur chien, vas-y fonce, il y a une opportunité à creuser.
Si tu es un as au scrabble, il est peu probable que des gens soient prêts à te payer pour leur apprendre à améliorer leur jeu.
Par contre, si tu as une particularité très recherchée, c’est autre chose 👇.
Dave Pelz, coach de golf, facture 20 000€ une journée de coaching individuel. Et son agenda est plein à craquer. Pourquoi ? Il a trouvé son ikigaï parfait.
Conclusion
Avoir la bonne offre, c'est la base d'un business qui fonctionne (et pour certains, qui cartonnent). Mais cette offre, tu dois la construire, pas juste l'imaginer.
Retiens deux choses :
1. Ton idée business n'est PAS ton offre.
2. Romain 8:28 dit : « …Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, … ».
Donc même expérimenter une mauvaise offre un jour dans ton business contribue à ton bien et ta progression dans ton parcours d’entrepreneur. A toi d’en apprendre les leçons et de prendre les actions adaptées pour agir.
Crois-moi, n’abandonne jamais.
Le défi de la semaine
Cette semaine, je t’encourage à interroger et travailler ton offre. Et si tu veux aller plus loin et que ça t’intéresse, j’en parle dans mes masterclass et j'ai créé un chapitre entier sur ces sujets dans mon cours qui paraîtra début septembre. N’hésite pas à me dire en commentaire si ça t’intéresserait.
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Merci de m’avoir lue jusqu’au bout. Si tu as aimé cette édition de Tatraj, si elle t’a encouragé à vivre ta vie entrepreneuriale avec plus de Jésus, on sera ravis de le savoir 😀 !
Disclaimer
Cette newsletter partage mes opinions personnelles d'entrepreneure chrétienne. Elle t'offre réflexions et ressources pour ton parcours entrepreneurial. Mon but : te transmettre ce que j'aurais aimé savoir pour réussir en accord avec ma foi.